L’activité physique est bénéfique au point de
vue physique : elle solidifie et augmente la masse de nos os, diminuant
ainsi les risques d’ostéoporose. Elle tonifie nos muscles, nous permettant
d’avoir une meilleure posture (exemple éviter de marcher le dos rond). Elle
favorise le retour veineux (une meilleure circulation du sang), ce qui diminue
l’apparition des varices. Elle améliore notre endurance, (lorsque vous courrez
dans les magasins en période de solde, vous serez moins essoufflé :) et elle réduit
les risques d’hypertension. Une activité
physique régulière, c’est aussi une bonne prévention contre le diabète et un bon traitement pour les personnes atteintes (bien évidement, à cela il faut ajouter la
prise de médicament couplée à une alimentation équilibrée.). Le sport permet aussi de lutter contre
l’obésité et le surpoids.
La pratique
sportive à aussi un impact positif sur le mentale. Des études démontrent que
celle-ci contribue à améliorer la santé mentale en réduisant l’impact du mauvais stress, en diminuant le
niveau d’anxiété et de la dépression légère. Le sport permet d’augmenter l’estime de soi, permet d’acquérir
un équilibre psychologique et émotionnel et de tisser des liens.
Bien utilisé,
le sport est source d’épanouissement. Il procure du plaisir grâce à la
sécrétion d’endorphine. Mais que vous soyez sportif de haut niveau ou amateur,
en abuser serait dangereux.
En effet, la
pratique intensive d’une activité physique augmente le risque de traumatismes
tels que les fractures, les luxations, les tendinites (des maux que rencontrent
souvent les sportifs de haut niveau, car leur corps est souvent poussé dans ses derniers
retranchement afin de battre des records.). L’abus de sport, peut aussi présenter des signes proches de la dépression ;
troubles du sommeil, de l’alimentation, manque d’enthousiasme…etc. . Chez
les jeunes filles et les femmes, un abus de sport peut entrainer des dérèglements hormonaux avec aménorrhée (absence de règles).
D’autre part, pendant le cycle menstruel
de la femme, la résistance de certains
tissus diminue et trop les solliciter peut entrainer des accidents. Chez l’enfant, il y a risque de surmenage des
cartilages de croissance.
Le sport
peut devenir une addiction, les personnes « accros », ressentent un besoin
compulsif de pratiquer malgré les blessures (comportement à éviter). Le pratiquant en faisant une activité de façon
intense, devient dépendant des hormones produites par son organisme (dopamine,
adrénaline).
Selon moi le sport permet de prendre conscience que nous avons un corps. C'est à dire que l'activité physique nous permet de l'écouter, de le comprendre et de savoir s'arrêter lorsque l'on atteint ses limites. La pratique sportive doit rester un plaisir.
Comme dirai l'adage "le sport c'est la santé", mais attention tout de même de ne pas en abuser.
Eymeric Kouassi.
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